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Marion et Maye – MAISON BURNEL

Couple Marion ANTCZAK & Maye CISSOKO - Maison Burnel - Restaurant gastronomique à Rouvres en Xaintois

Le 16 octobre 1919 marque le début de l’aventure pour la maison Burnel, alors modeste épicerie de quartier située à Rouvres en Xaintois (88).

105 ans plus tard, la 4ème génération représentée par Marion ANTCZAK, Maîtresse de maison, et son époux Maye CISSOKO, Chef de cuisine, perpétue l’héritage familial de l’hospitalité dans l’épicerie devenue hôtel restaurant. L’histoire de la maison Burnel est riche et pleine de charme.

Chaque génération a apporté sa pierre à l’édifice, transformant ce lieu en un véritable symbole familial.

Quelle est l’histoire de l’hôtel Burnel ?

MA. À l’origine, mes arrière-grands-parents y tenaient un café-épicerie-mercerie, véritable coeur multifonctionnel du village. Mon arrière-grand-père, maréchal-ferrant de métier, y travaillait également. Suite à leur décès pendant la guerre, mon grand-père reprend les rênes de l’établissement. A cette époque, il fait la rencontre d’une Parisienne ayant des attaches familiales à Rouvres-en-Xaintois. Douée en cuisine, elle initie la transformation du café en restaurant. Puis dans les années 60, ma mère et ma tante emménagent quelques chambres à l’étage du restaurant, prélude à la construction de l’hôtel de dix-sept chambres situé en face. En 2009, l’établissement s’agrandit encore avec l’ajout d’une terrasse et d’une extension. Enfin, en décembre 2021, Maye est arrivé pour prendre les commandes de la cuisine, apportant un souffle nouveau à notre histoire familiale.

Comment est né votre amour pour la gastronomie ?

MS. J’ai découvert ce métier par un heureux hasard. Désireux de travailler de mes mains, j’ai d’abord exploré la maçonnerie, puis les cycles et motocycles. À cette époque, je vivais en Normandie et j’ai été embauché pour faire la plonge dans un restaurant à Deauville. “Tu vas commencer à bosser”, m’a dit mon patron de l’époque qui m’a pris en cuisine pour préparer un CAP, que j’ai obtenu en 10 mois. La semaine suivant l’obtention de mon diplôme, il m’envoyait à Paris, c’était en 2004.

C’est ainsi que je me suis retrouvé chez Frédéric Anton, où j’ai appris l’art de la cuisine et de la pâtisserie. D’après moi, un bon cuisinier doit maîtriser
la pâtisserie. Ensuite, j’ai travaillé à Toulouse, au Fouquet’s, pendant quatre
ans, avec des passages à Paris, Cannes, La Baule et Marrakech. Puis, j’ai dirigé un grand complexe à Lille en tant que chef de restaurant pendant quatre ans avant de venir m’installer en Lorraine. Dans l’artisanat, quel que soit le domaine, on part d’un produit brut pour le transformer et le sublimer.
J’aime les gens, le partage. C’est un plaisir de recevoir du monde, de bien présenter les plats, avec de bons assaisonnements.

Quels sont vos inspirations en cuisine ?

MS. Auguste Escoffier et Brillat-Savarin sont des figures qui m’ont fait grandir, m’ont inspiré et m’inspirent au quotidien, à travers des recettes
que je transforme et que je réinvente. Que l’on prépare un simple poulet, une pomme sautée ou une oeuvre de haute gastronomie, il est essentiel
de respecter le produit et de choisir la qualité.

Comment décririez vous l’ambiance du restaurant ?

MA. et MS. L’ambiance du restaurant est feutrée et chaleureuse, élégante et raffinée. Lorsque l’on se rend dans un restaurant gastronomique, on apprécie de voir des tables ornées de belles nappes, témoignant de la
noblesse des matières et de ce qu’elles apportent à l’expérience. C’est une parenthèse enchantée, un moment de plaisir que nous offrons. Nous avons souhaité collaborer avec Linvosges qui est une maison historique comme la nôtre et utiliser des produits conçus localement. La qualité, tant dans l’ameublement que dans la décoration, devait refléter l’image de notre cuisine : belle et qualitative.

Sucré ou salé ?

MA. et MC. Salé !

Question bonus :
Quel est votre plat auquel vous ne résistez pas ?

MA. S’agissant des plats du chef, je ne résiste pas à grand-chose. Mais ce sont surtout ses sauces dont je finis les casseroles à chaque fois.
MC. Un poulet rôti avec des pommes sautées… et des gens qu’on aime.

Crédit photos : Michel Laurent

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